☃️ Je Me Reconstruit Après Un Burn Out
Parceque le monde professionnel actuel est trop souvent source de souffrance je partage avec vous mes conclusions après une période de ma vie très difficile
Comment se manifeste concrètement le burnout émotionnel ? Après avoir défini le burnout et vu les signes du syndrome d’épuisement, je t’emmène explorer avec moi les 3 phases de ce syndrome. 1 Première phase du burn-out émotionnel l’alarme Lorsqu’on observe les témoignages des personnes ayant fait un burn-out émotionnel, beaucoup décrivent une phase d’allégresse qui précède le point de rupture. Cette période peut être vécue suite à un grand changement dans notre vie – dans le cadre professionnel nouvel emploi, nouveau poste au sein de l’entreprise, changement de cadre de travail, d’équipe…– dans le cadre familial premier ou nouvel enfant, nouvelle relation, grossesse, divorce, séparation, parent à charge, enfant malade ou découverte d’un handicap…La première phase du burn-out émotionnel commence bien avant d’atteindre nos limites personnelles. Elle concerne cet état euphorique où l’on se sent galvanisé par le stress d’une nouvelle responsabilité. Si on obtient un nouveau travail, un nouveau poste ou si l’on vit l’arrivée d’un nouvel enfant, on peut alors se sentir mobilisé par une énergie nouvelle. On vit un stress qui nous donne des ailes, qui nous pousse à nous dépasser. Très concentré, nous nous sentons intouchable. Que se passe-t-il concrètement dans notre organisme à ce moment-là ? Lors de cette phase ascendante du burn-out émotionnel, plusieurs mécanismes se mettent en place. Zoomons un peu sur ce qui cause cet état d’euphorie lors d’une période stressante – Les surrénales fabriquent du cortisol en masse c’est ce qui produit un état d’hypervigilance et un sentiment de toute puissance. L’action anti-inflammatoire du cortisol fait son travail et anesthésie nos sensations. – Le taux de noradrénaline augmente et favorise la contraction musculaire tout en optimisant notre système respiratoire. Tout est fait pour que l’on se sente prêt à se dépasser. Cette phase “superman” ou “wonderwoman” ! ne dure pas longtemps, car les fonctions de notre corps se mettent en place rapidement pour faire face à un danger immédiat. Lors de cette phase où le corps se met en mode alarme, il est encore possible de ralentir pour préserver son organisme et éviter l’effondrement. Comment s’en sortir à cette étape ? – S’imposer du repos– Ralentir et apprendre à se remettre dans la réalité de l’instant– Méditer, calmer son euphorie pour n’en garder que la bonne énergie 2 Deuxième phase du burn-out émotionnel burn-in, l’étape du plateau Les réserves de notre corps ne sont pas inépuisables. Après l’état d’euphorie, notre organisme atteint un plateau c’est la phase de résistance du corps. Erreurs répétées, grande fatigue, baisse de motivation, sentiment d’échec et de culpabilité croissants… A force de lutter pour être performant, nous commençons à subir l’épuisement des réserves physiques et émotionnelles de notre organisme. Normal, car plus le corps est en état de stress longue-durée plus notre énergie vitale baisse. En cause – Une hypercortisolémie les glandes surrénales sont épuisées d’avoir fourni trop de cortisol au corps, qui fonctionne de moins en moins bien – Des pics continus d’adrénaline avec leur lot de conséquences épuisement progressif du système immunitaire, hausse du cholestérol, hypertension artérielle, perte de masse musculaire, apparition de douleurs dos, céphalées……Cette phase du burn-out émotionnel est plutôt longue et très épuisante pour l’organisme. Le sentiment de subir la situation sans pouvoir s’en échapper grandit de jour en jour. Si la personne continue sur cette lancée sans ralentir, elle risque d’atteindre alors d’atteindre ses s’en sortir à cette étape ? – S’imposer du repos voire des jours d’arrêt– Prendre du recul sur la situation – Lâcher-prise sur ses responsabilitésRegagner en énergie vitale 3 Troisième phase du burn-out émotionnel l’effondrement Après la phase de résistance, le corps n’a plus les capacités à suivre. C’est la chute, l’effondrement de l’organisme, le burn-out à proprement parler. Assumer la charge devient impossible sur le plan physique, émotionnel et psychologique. L’épuisement est total. Les personnes ayant subi cette troisième phase du burn-out émotionnel racontent souvent qu’un matin, elles ne pouvaient tout simplement plus se lever et aller au travail ou assumer leur charge mentale familiale. L’impact psychologique de la prise de conscience qu’on est allé trop loin pour son organisme est rude. On ne guérit pas d’un burn-out émotionnel en quelques jours, ni en quelques semaines. Le burn-out est un épuisement total de l’organisme, sur tous les plans. Il nécessite une prise en charge physique et psychologique sur plusieurs mois voire années. Le burn-out n’est pas une fin en soi et des solutions peuvent être mises en place pour s’en sortir, qu’on se situe à la phase 1, 2 ou 3 du syndrome. Avant d’arriver à l’effondrement total de notre organisme, il est toujours possible de prévenir la chute. Si tu te sens concerné par le burn-out, je ne peux que t’encourager à en parler à ton médecin traitant, qui saura le diagnostiquer et envisager des solutions. Dans le prochain article dédié au burn-out émotionnel, nous verrons toutes les étapes et les solutions pour sortir du burn-out et retrouver de l’énergie vitale. émotionnel
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Accueil Région Le Havre Ludovic Salenne, un Havrais de 36 ans, à la tête de son entreprise de transformation digitale dans le marketing depuis 2013, a fait un burn-out carabiné », comme il le qualifie lui-même en 2018. Lors du deuxième confinement, après un profond travail de reconstruction, il se lance dans l’écriture d’un ouvrage sur ce sujet encore souvent tabou. Article réservé aux abonnés
Sécurisezvotre parcours de reconstruction post burn out (personnel et professionnel) Testez-vous avec des exercices d’auto-coaching ; je télécharge. HELLO ! Je suis Marie-Eve Cassal. Experte en stratégie de carrière post burn out Fondatrice de CAP SATORI. Je m’engage avec force à vos côtés, cadres et managers pour vous aider après un burn out à reprendre le
Comment se reconstruire après un burn-out ou une dépression ? Ce manuel pratique présente la méthode Quintessence qui va vous permettre de Calmer puis chasser vos angoisses ; Découvrir vos forces et vous recentrer sur elles ; Retrouver le goût du contact avec les autres ; Reprendre confiance pour vivre pleinement ; Rééquilibrer votre vie et lui donner du sens. En 9 semaines, cette méthode vous aidera à sortir de la dépression à l’aide de pratiques d’auto-guérison pour vous remettre en mouvement et installer une discipline personnelle, par l’acquisition de pratiques de recentrage et de rééquilibrage. Quintessence permet d’entrer dans une démarche de changement personnel progressif. Grâce à ce livre, vous pourrez prendre le temps nécessaire pour ressentir, vous écouter, avancer à votre rythme pour retrouver l’estime de soi et vivre mieux. ISBN 978-2-84319-373-6 EAN 9782843193736 Format Poche Présentation Dos carré collé Nb. de pages 146 pages Poids Kg Dimensions 14,0 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
Histoired’un burnout : “Je ne vivais plus que pour le travail” – Christelle, 33 ans. L’été dernier, Christelle s’est inscrite au programme Bloomr après un burn-out. Aujourd’hui, elle a réussi à surmonter cette expérience difficile, après plusieurs mois à se reconstruire, du temps passé à se reconnecter à elle-même, et
INTERVIEW - À l’occasion de la sortie de son album Intuition, le violoncelliste, nommé dans la catégorie soliste instrumental» aux Victoires de la musique classique, en direct sur France 3 le 23 février, a accueilli le magazine Jours de France dans son appartement parisien et s’est livré en toute simplicité. Extraits sur les plus grandes scènes internationales, responsable des Classes d’excellence à la Fondation Louis-Vuitton et juré du concours Prodiges, sur France 2, le brillant violoncelliste vient de sortir un nouvel album, Intuition Erato, accompagné du pianiste Jérôme Ducros et de l’Orchestre de chambre de Paris. À 36 ans, il livre, en quinze pièces romantiques, contemporaines ou virtuoses, un panorama de sa vie. Dans son appartement parisien, proche des Tuileries, Gautier Capuçon évoque son enfance savoyarde, sa jeunesse viennoise, son équilibre familial, marqués par une constance certaine et un sens inné du cet album très personnel?Chaque projet musical doit partir d’un réel désir artistique, je nourris celui-ci depuis longtemps. Je l’ai construit comme un tableau sur lequel j’aurais épinglé les photos de toutes les périodes de ma vie. C’est un voyage musical, de mon enfance à aujourd’hui. L’album mêle pièces grand public de Saint-Saëns, Massenet ou Tchaïkovski à des morceaux moins connus de Giovanni Sollima ou de mon ami Jérôme lire aussi Victoires de la musique classique 25 ans de talentsQuels sont vos plus anciens souvenirs?Je me revois à Chambéry, en Savoie, avec mon premier violoncelle, à 4 ans et demi. Cet instrument avec lequel on fait corps, que l’on enlace, m’a tout de suite plu. L’archet est comme le prolongement naturel du bras. Chez mes grands- parents, à Bourg-Saint-Maurice, je n’ai que de bons souvenirs de ski, de goûters, de montagne et de feux de cheminée. Ma grand-mère adorait La Méditation de Thaïs Massenet, Le Cygne Saint-Saëns, Après un rêve Fauré. Ce sont mes madeleines de Proust. Elle venait nous entendre à Chambéry, mon frère, Renaud, et moi-même, ou aux Arcs, lors du festival. En dehors de grand-mère maternelle, d’origine italienne, mes autres grands-parents sont tous savoyards. Je ne suis pas nostalgique, mais je repense à ces bons moments avec votre frère, Renaud, le célèbre violoniste, et votre sœur, qui jouait aussi du piano, la musique était au cœur de votre vie…Étant le petit dernier, je me suis rapidement retrouvé seul à la maison. Quand j’avais 8 ans, ma sœur aînée, qui en avait 18, était déjà partie étudier à Lyon, et un an après, Renaud, de cinq ans plus âgé que moi, étudiait déjà le violon à Paris. Je me suis dépêché de le rejoindre, et nous avons joué ensemble jusqu’à 70 concerts par an. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Récemment, le 14 juillet 2017, nous nous sommes retrouvés au Concert de Paris, aux côtés de Stéphane Bern, qui a écrit un texte dans le est aussi un album d’hommage à vos professeurs…Oui, particulièrement à Heinrich Schiff, décédé en 2016. Mais tout a commencé avec Augustin Lefevre à Chambéry. Il disait La musique, il faut que ça swingue». Annie Cochet, originaire d’Aix-les-Bains, m’a ouvert les portes du conservatoire régional de Paris avant que je n’entre au Conservatoire national. Comme je venais seul à Paris dès l’âge de 14 ans, elle m’avait indiqué une famille de six enfants qui pouvait m’accueillir, les Borsarello, ma future belle-famille! Delphine, alors âgée de 15 ans, étudiait le violoncelle avec moi au conservatoire…Comment avez-vous vécu ces années à Paris?Ce fut une période très studieuse, auprès de Philippe Muller. Contrairement à mes camarades, j’étais toujours partant pour le cours du matin. Puis, quand j’en avais fini avec le violoncelle, j’étudiais par correspondance. La méditation m’a permis de me reconstruire après mon léger burn-out, il y a quatre ans »Gautier CapuçonVous partez ensuite pour l’Autriche…J’ai passé trois années merveilleuses à Vienne, entre 18 et 19 ans. Je découvrais la vie d’étudiant. Avec Heinrich Schiff, nous travaillions, mangions et faisions des feux de cheminée ensemble. Et, avec mon colocataire suédois, nous faisions la oublié Delphine?Non! Delphine venait à Vienne. Lorsque l’on se rencontre si jeune, il y a des hauts et des bas, mais nous nous sommes mariés! Nous avons fêté nos dix ans de mariage l’été évoquez souvent la méditation, c’est le premier titre de votre album, la pratiquez-vous?Oui, depuis mon léger burn-out, il y a quatre ans, je m’y suis mis. Elle m’a permis de me reconstruire. Ma femme et Fée, notre aînée, âgée de 8 ans, méditent vous sentez-vous à présent?Je crois m’être retrouvé intérieurement. Le trac est toujours là, mais, comparé à cette période où je me demandais comment j’allais faire pour entrer en scène, je me sens bien. Il m’a fallu du temps pour retrouver ma confiance perdue...RETROUVEZ L’INTERVIEW COMPLÈTE DE GAUTIER CAPUÇON ET DE BEAUCOUP D’AUTRES STARS FRANÇAISES DANS JOURS DE FRANCEvotre trimestriel haut de gamme sur l’actualité des stars et du gotha, 116 pages, 4 € 90, dans tous les kiosques.
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Il est une question récurrente dans la sensibilisAction au burn-out quel est le profil type ? Est-ce qu’il existe une fiche perso du burn-outé ? Une checklist pour savoir si je suis à risque » ou pas ? Alors oui et non. Il y a des signes qui reviennent souvent, comme la tendance au surinvestissement ou le costume de SuperFection. C’est comme WonderWoman, ça a l’air classe mais en dehors des Comics ce n’est pas tenable à long terme… Il y a des situActions à risque aussi, comme le manque de sens au travail ou les vampires énergétiques un aperçu dans cet article. MAIS n’oublions pas que tu es ton Maître du Jeu il n’y a pas de fatalité. Tu as toujours la possibilité de reprendre les manettes et freiner à temps. C’est tout l’intérêt de la sensibilisAction 😉 Cela dit, pour certains profils il est parfois difficile de freiner à temps. Voire de freiner tout court… Ces cerveaux efferveScients que rien ne peut arrêter. Un profil que je connais bien, pour l’avoir expérimenté… Alors à la question existe-t-il un profil à risque de burn-out ? », sans parler de fatalité, je retiendrais un profil en particulier. Une particularité qui en est de moins en moins une dans cette quête contre le burn-out la zébritude. Un costume rayé difficile à porter dans la jungle du travail… EfferveScience au pays des Zèbres Zèbre, c’est le terme tout mignon et tout rayé que propose Jeanne Siaud-Facchin pour parler des surdoués » ou Hauts Potentiels » dans son livre Trop intelligent pour être heureux ? L’adulte surdoué. Le zèbre, seul équidé que l’homme ne peut pas apprivoiser, et qui se distingue par ses rayures, des rayures très personnelles il n’existe pas deux zèbres ayant les mêmes rayures. Différents, mais uniques 🙂 Alors déjà mise au point non, nous ne sommes pas sur-doués ». Je n’aime pas du tout ce terme. Nous sommes câblés différemment. Câblés pour apprendre, et connecter les idées, en arborescence ça c’est bien, c’est efferveScient. Mais sans filtre c’est plus dur. J’aime dire que penser en mode zébré c’est capter en permanence toutes les infos qui nous entourent, sur une connexion Fibre, mais sans parefeu. C’est-à-dire qu’on est sans cesse assaillis de stimuli. Comme un spamming permanent et sans bouton pause. Ou chaque nouvelle info génère une nouvelle idée, ou une question. Très envahissant. Et vite épuisant. Encore plus quand on essaie de le cacher… ou qu’on l’ignore… Le masque épuisant de la normalité Difficile de parler de zébritude sans parler de faux-self. Le faux-self, c’est un masque de normalité » que les zèbres vont se créer pour cacher leur rayures. Très souvent à l’insu de leur plein gré, parce que les rayures n’auront pas été détectées. Concrètement, c’est chercher à se caler sur les rythme des autres, pour paraître normal ». Un peu comme rouler avec le frein à main en permanence c’est super fatiguant, pas efficace niveau productivité, et pas bon pour la mécanique. Une habitude » qui nous vient souvent de l’école, un mécanisme de défense presque paraître normal. Casser l’image de l’intello, gommer le décalage, essayer de s’intégrer, autant de raisons pour s’effacer. Avec un énorme effet secondaire l’ennui. Parce que le décalage est toujours là. Parce que nos cerveaux fonctionnent vite, très vite. Les conclusions arrivent déjà quand nos collègues sont en phase réflexion. Et nos idées sont souvent beaucoup plus vastes que le problème d’origine… Jeanne Siaud-Facchin parle de faille spatio-temporelle » l’univers sinon rien ! Comme le Doctor dans son Tardis, le zèbre a une vision intemporelle et universelle des problèmes, une vision globale. C’est passionnant, stimulant, mais en entreprise comme à l’école, à part dans certaines structures collaborActives, c’est mal accueilli… alors on se tait. Et on attend. Et on continue de s’ennuyer… C’est comme ça qu’on retrouve des zèbres qui vont finir par s’épuiser d’ennui bienvenue au pays du bore-out. Alors bien sûr parfois c’est trop dur de garder ses idées, trop d’enthousiasme, trop d’envie de contribuer, ou simplement trop d’envie d’avancer et que les réunions se terminent ! 😉 Ou comment aller au devant d’une trilogie de problèmes Si tu donnes ton avis en dehors de ton champ de compétences c’est mal vu pour qui tu te prends ? Si en plus tu empiètes sur le territoire d’un collègue il risque de mal le prendre, façon menace, agression ou remise en question Et quand bien même ton idée géniale plairait, tu risques de la voir se réaliser, et surtout la gérer… Le dernier point peut sembler positif, et pourtant… Nombreux sont les zèbres qui se retrouvent à porter les idées qu’ils ont lancées, d’autant que les zèbres ont un syndrome de l’imposteur tenace qui les pousse à en faire plus, comme pour s’excuser que ce soit facile… Il faut être honnête c’est extrêmement stimulant de voir grandir ses idées, en plus ça ajoute une dose de nouveauté à nos postes, avec de nouvelles choses à apprendre, de nouveaux challenges pour relancer notre motivation. Un vrai remède anti-ennui contre le bore-out ! C’est comme ça qu’au cours de mes différents postes j’ai appris énormément de choses nouvelles compétences, nouvelles techniques, nouveaux outils… Oui, MAIS pour chacun de mes postes, j’ai finis avec 2 à 4 postes à gérer, et c’est humainement impossible. Bienvenue de l’autre côté du miroir le pays du burn-out. Zèbres VS burn-out l’hécatombe Ça semble cynique dit comme ça, mais j’ai cette impression que les zèbres naviguent en étroit équilibre entre le bore-out d’une fausse normalité d’un côté, et le burn-out d’un excès de compétences et d’adaptabilité mal gérées de l’autre. La tendance est tenace, latente, omniprésente dans les communautés de zèbres et de burn-outés Les zèbres sont massivement victimes de l’épidémie de burn-out. Alors non, je n’ai pas de chiffres. Le burn-out non plus à vrai dire, c’est un des problèmes de ce syndrome qui n’est pas une pathologie reconnue… C’est une question que je pose très souvent dans mes interventions de sensibilisAction ou dans les groupes de zèbres, et à chaque fois que j’ai l’occasion d’échanger avec un expert en douance. C’est aussi un témoignage récurrent sur la prise de conscience d’une zébritude tardive. Beaucoup d’adultes à l’époque de Trop intelligent pour être heureux ? L’adulte surdoué 2008 mettaient la lumière sur leurs rayures en découvrant celles de leurs enfants. Aujourd’hui c’est encore le cas bien sûr, mais on trouve aussi un nombre conséquent d’adultes chez qui le burn-out a initié la prise de conscience de leur particularité. Et pour avoir comme tous les zèbres un détecteur à rayures, je croise énormément de profils rayés dans les victimes que je rencontre en réel ou en virtuel, que ce soit dans le groupe des Stress Fighters ou d’autres communautés. Étrangement ou pas, mes coachés aussi se révèlent bien souvent zébrés 😉 Attention, je ne suis pas en train de dire que le pays des burn-outés est exclusivement peuplé de zèbres. C’est faux. Mais il semble que quand une vague de burn-out touche une entreprise, les premiers à tomber sont mes confrères zébrés… Les zèbres, indicActeurs de souffrance La tendance ressort auprès des coachs et thérapeutes spécialisés dans la douance, de certains articles et ouvrages sur la douance, on trouve quelques publications anglophones sur le sujet, des études et mémoires sont en cours, le Festival Eklore a superbement abordé le sujet des zAtypiques en entreprise, les recruteurs spécialisés en profils atypiques l’évoquent les surdoués » sont parmi les premiers contaminés par l’épidémie de Working Dead. Pourquoi ? Parce que nous sommes des détecteurs de tensions. Des indicActeurs de souffrance. Des canaris. Comme ces canaris qu’on envoyait dans les mines pour détecter les coups de grisou dans les mines, ce moment où la tension monte juste avant l’explosion. Cette image est tellement juste, tellement révélActrice de ce qui se passe en entreprise. Avec nos antennes efferveScientes et sans filtre, nous captons les tensions et analysons les problèmes en permanence, souvent en avance, et toujours de façon exacerbée. C’est vite épuisant. Prends ton smartphone. Le modèle grand écran. Et met l’intensité à fond. Tu verras combien la batterie va souffrir pour tenir le rythme… De moi, à retrouver dans mon compte-rendu du Festival Eklore 😉 Une SuperSensibilité qui a aussi du bon, mais qui peut vite nous dépasser… Si les rayures étaient un costume, il aurait une cape Dans chaque zèbre sommeille un Super-Héros qui veut changer le monde 🙂 Avec notre câblage arborescent, chaque idée en entraîne une autre, l’inspirAction est sans fin. Avec bien plus de questions que de réponses, mais toujours cette volonté profonde d’améliorer les choses. Comme je l’expliquais dans ma première virée au pays de la zébritude, celle où je partageais mon expérience, les zèbres ont dans l’entreprise une nouvelle liberté et cette envie d’être utiles. Que ce soient des zèbres identifiés, tendance idéalistes qui veulent mettre à profit leurs super-pouvoirs, ou ceux qui s’ignorent encore mais sont titillés par cette sensation de savoir comment mieux faire, les zèbres sont des innovActeurs qui foncent à 142 à l’heure ! ou 88 miles pour la référence back-to-the-futuresque Il leur manque juste des freins ! Un filtre, cette notion de limites qui leur permettrait de se préserver… Le bouton stop » dont les zébrés rêvent, ou au moins pause », pour ne pas exploser en vol… Parce que les capes c’est dangereux chez les Super-Héros… Surtout que la plupart des zèbres avancent masqués, ne l’oublions pas, et jongler entre notre costume de sauveur et notre masque de normalité demande une débauche d’énergie. Pour me paraphraser Le changement discret, la multitude de projets, les nouvelles missions, les incessantes questions, ce besoin viscéral d’apprendre, d’aider, sans se faire remarquer… le costume est dur à porter… Des particularités à retrouver dans cette table ronde de l’Intelligence Day sur le burn-out que je recommande++ pour aller plus loin La conférence est longue, mais le sujet est vaste et il reviendra sur EfferveScience, c’est certain 😉 On y retrouve notamment Cécile Bost, identifiée zébrée à 42 ans c’est tellement geek !, qui a étudié la Différence et souffrance de l’adulte surdoué, et dresse un portrait efferveScient de nos particularités en début de vidéo. Pour résumer, sa fiche perso du zèbre en entreprise comporte une trilogie de caractéristiques Intensité agilité verbale, humour, grande curiosité, empathie, concentrAction, énergie, challenge, mais aussi cette hyperesthésie envahissante, et l’hypersensibilité associée au niveau émotionnel Complexité intégration de toute information sous toutes ses formes, pensée divergente, esprit critique, créActivité, adaptAction, mais aussi exigence, intransigeance, souci de justice, risques d’éparpillement, d’ennui, de dépression Drive c’est un peu notre énergie de vie, notre motivAction, le feu qui nous anime comme dirait Lyvia, qui nous amène toujours plus loin et attise cette envie de transmettre qui nous anime, avec pour le côté obcur le perfectionnisme, le doute, le manque de confiance en soi, le syndrome de l’imposteur, et une incapacité chronique à lâcher prise… Là encore tout est question d’équilibre, notre trilogie est aussi et surtout une richesse, quand elle est bien dosée et ne bascule pas du côté obscur… Mission préservAction Je le redis il n’y a pas de fatalité. Tu es ton Maître du Jeu. Tu as toujours la possibilité de reprendre les manettes et freiner à temps. Et oui, on peut apprendre à ralentir quand on est zébré, c’est plus dur, c’est mon plus grand combat, mais on peut ! Il y a des outils qui fonctionnent très bien pour mettre sur pause, comme les routines ninja, comme la cohérence cardiaque qui peut être plus accessible pour un zèbre que la méditAction en première approche, comme la thérapie et le coaching pour apprendre à apprivoiser son cerveau efferveScient. Avant ou même après le burn-out. Mais avant ce serait tellement mieux… Car pour rester dans la métaphore animalière, je cite Cécile Bost Le surdoué est un canari… mais c’est aussi un phoenix il va pouvoir rebondir, se retrouver. Cécile Bost, experte en zébritude La plus grande force du zèbre, c’est l’adaptAction ! Oui, le zèbre se reconstruit après un burn-out. Et c’est ce message d’espoir qu’il faut garder en tête. Les zèbres sont nombreux sur les chemins de la reconversion et de l’entrepreneuriat, j’en croise énormément. On peut aussi revoir son rapport au travail pour repartir en entreprise en se préservant, parfois dans la même entreprise, parfois en changeant d’environnement pour repartir sur de nouvelles bases, mais un équilibre est possible ! Comme le dit si joliment Cécile C’est votre attitude et non pas vos aptitudes qui vont déterminer votre altitude. Cécile Bost, experte en zébritude Nos rayures sont une force, quand on sait en jouer, et qu’on oublie la cape aussi 😉 Toujours cette histoire de Maître du Jeu soi et le plaisir au cœur de la sensibilisAction. Et ça s’apprend ! C’est mon combat, mon message. De canari je suis devenue colibris. Et à petits battements d’ailes, je porte cette sensibilisAction, pour aider mes amis zèbres à ne pas se brûler les ailes… En savoir plus faisons équipe ! Découvre mes accompagnements efferveScients & neuroScientigeek
Nouvelle édition de ce guide faisant référence sur le burn-out. Il intégre en autres actualisations une partie sur la reconversion professionnelle. Il intégre en autres actualisations une partie sur la reconversion professionnelle.
Les différentes phases du burn-out ✅ la phase d’alarme, qui est une manifestation du stress ; ✅ la phase de résistance, durant laquelle le métabolisme s’adapte aux sensations de stress, le corps devient plus résistant ; ✅ la phase de rupture, qui enclenche la réapparition des réactions caractéristiques au stress de la phase d’alarme, mais ces réactions sont alors irréversibles ; ✅ la phase d’épuisement, qui se traduit par une perte des défenses psychologiques et une angoisse constante. Les spécificités pour les Hauts Potentiels Pour les personnes à Haut Potentiel, l’intensité est telle dans tout ce qu’elles entreprennent qu’elles sont particulièrement à risque d’épuisement. Les causes sont variées et souvent multiples, pour une raison très simple les hauts potentiels ne se satisfont pas de la norme attendue par les normaux pensants », et le décalage peut être terrible. ✅ Le besoin de relations saines, en profondeur si possible. Un conflit latent ou ouvert avec un collègue ou un manager est une source de stress importante, liée à une très forte sensibilité. ✅ L’exposition au regard, et à la critique des autres peuvent générer de fortes tensions émotionnelles et mentales ✅ Le besoin de ne pas rester dans la routine, de se projeter, de créer, d’innover est source d’épuisement, et d’incompréhension de l’entourage. Profite de ce que tu as déjà fait ! » Impossible pour une personne à HP qui ignore ses particularités de fonctionnement. ✅ Le perfectionnisme » les personnes à Haut Potentiel ont un haut niveau d’exigence, et la forte activité cérébrale épuise ✅ La perte de sens dans le travail demandé mais comment en conscience, puis-je faire ce qu’on me demande ? ». Les personnes à Haut Potentiel, vont utiliser leur fabuleuse capacité d’adaptation et d’analyse de systèmes complexes pour trouver des solutions, faire tampon entre l’absurdité de ce qu’on leur demande, et la volonté de rendre un travail bien fait, qui a du sens et qui ira dans le sens du Bien commun de l’entreprise, même si pas perçu comme ça. Exercice particulièrement épuisant. ✅ Un haut degré de responsabilité on m’a fait confiance, je ne vais pas lâcher ». Les personnes à Haut potentiel ne s’autorisent pas à lâcher prise, ou quand elles le font en quittant un emploi par exemple, c’est pour tout de suite en reprendre un autre, sans se ressourcer. moi burn-out, mais non, je suis juste fatigué, cela ira mieux en changeant de travail, c’est tout ». Cette séquence ne fait qu’augmenter la phase de résistance préalable au burn-out. Les personnes à Haut Potentiel ont donc une capacité bien plus importante que la moyenne à résister dans le temps, augmentant l’intensité de la chute qui devient inévitable, si un scénario se répète. ✅ Le fonctionnement hyper cérébral rend la notion de connexion corps-esprit » totalement inconnue mais de quoi parle-t-on ? Moi, fatigué, mais non, je tiens ! » Jusqu’au jour où le corps lâche, sans que la personne à Haut Potentiel ne puisse comprendre quoi que ce soit. ✅ Une méconnaissance de ses ressources internes, pour se poser et se ressourcer en conscience, prendre du plaisir. Et quand le burn-out survient Et quand le corps lâche, une angoisse terrible apparait, laissant vide, colère, amertume… Sortir d’un burn-out demande du temps, d’une manière générale, et particulièrement pour les personnes à Haut Potentiel, qui ont particulièrement puisé dans leurs ressources ✅ Accepter de s’arrêter, d’accueillir cette situation ✅ Comprendre le principe de la connexion corps-esprit », et reconnecter au corps ✅ S’occuper, sans se sur-occuper, en se faisant plaisir, et peut-être découvrir ce qui fait plaisir, pour regagner en énergie ✅ Potentiellement découvrir sa douance et relire sa vie au regard de ses caractéristiques ✅ Aller au-delà des caractéristiques de la douance et de l’hypersensibilité en les mettant en lien avec sa propre personnalité ✅ Redonner du sens à sa vie, à son projet professionnel, et peut-être personnel ✅ S’ouvrir aux autres avec un angle nouveau, serein
Jechoisis un magasin × . Je choisis ce magasin Je choisis un autre magasin. Description. 2 e édition. Se reconstruire après un burn-out. Les chemins de la résilience professionnelle. Burn-out : l'épuisement mental est non seulement tabou mais aussi difficile à diagnostiquer car souvent dissimulé par de multiples paravents physiques. Il y a pourtant des moyens de le surmonter et
Changer de vie après un burn-out professionnel, vous y songez ?Car oui, le burn-out, aussi nommé épuisement professionnel, est une plongée dans les point de non-retour qui cloue véritablement sur place. Mais après le tumulte, l’épuisement et la convalescence vient le temps des questionnements et de la recherche de aussi l’heure de faire des choix… Et un nouveau bouleversement arrive celui des éternelles questions existentielles 🤯.Car lorsque le calme revient et qu’il devient possible de prendre du recul, la question de l’après se comment changer de vie après un burn-out et emprunter le chemin de la reconversion avec le plus de clarté et de sérénité possible ?Suivez mes conseils 😉.
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Date de la crise décembre 2012. L’entreprise où travaille Jean-Baptiste van den Hove est en train de se transformer, comme toutes les boîtes du secteur des télécoms en Europe. L’ambiance des débuts lui manque. Sa structure a été intégrée à la lourde organisation du France Télécom » belge, Belgacom. Disparus l’autonomie, l’encouragement à la prise de risque, l’atmosphère entrepreneuriale J’avais du talent pour ça, l’entrepreneuriat.». Tout est plus lent, plus système ». Ses objectifs de fin d’année sont largement dépassés mais une réorganisation interne le fait encore évoluer »… J’étais manager numéro 1 et je devenais numéro 3. » La goutte d’ le recul, le jeune homme repère quelques signes avant-coureurs l’épuisement Je bossais vraiment trop », l’hypersensibilité au bruit Je portais toujours des bouchons d’oreille au bureau », et surtout le manque de sens Quand je rentrais à 22 heures du boulot dans ma grosse bagnole de fonction, je sentais bien au fond de moi qu’il y avait un vide. ». Les matins suivant l’annonce de sa nouvelle affectation, il perd toute énergie Je mettais jusqu’à une heure et demie à sortir du bain. ». Dans l’open space, il se surprend à chercher des endroits d’où personne ne le verra. Ses sens semblent saturés. L’ascenseur lui donne la nausée, comme s’il embarquait dans un manège de parc d’attractions. Parfois, il s’échappe pour dormir une à deux heures dans les toilettes, ou dans sa voiture. Il déjeune seul. Il perd 10 kg en deux mois. Je ne sais pas ce que tu as mais il va falloir que tu t’en occupes », lui dit un jour son médecin de famille. Sa prescription un rendez-vous chez le psychiatre et un arrêt maladie. Là, je me suis retrouvé tout seul chez moi, pendant un mois. Je ressentais une telle détresse. » L’appartement où il passe ses journées n’est pas encore tout à fait meublé, il vient seulement d’emménager. Sa seule sortie le supermarché, pour acheter des lasagnes surgelées. J’y allais toujours aux heures où il y a le moins de monde. Je ne mangeais qu’une seule fois par jour. J’avais un nœud à l’estomac. » Jean-Baptiste van den Hove rentrera finalement chez ses parents. Faute de mieux », il passe ensuite quatorze mois à Châteauroux Indre dans une communauté thérapeutique pour toxicomanes, Saint-Jean Espérance. Avec les tox’, on ne peut pas se mentir. Ils m’ont fait réaliser que j’étais beaucoup dans l’apparence, la prétention, que j’avais un besoin de reconnaissance assez dingue et que je manquais de coffre. »Il rejoint ensuite une autre communauté à Cognac Charente, L’Arche, qui accueille des personnes handicapées mentales. Autant les toxicos m’ont fait descendre de mon piédestal, autant les personnes handicapées m’ont montré la beauté de la relation. Ce que c’était que d’ouvrir son cœur. » Le terrassement, et puis la reconstruction. Ça a l’air peut-être fleur bleue quand je le raconte comme ça. Je crois qu’il faut avoir souffert pour comprendre. »Durant ces longs temps de vie communautaire, Jean-Baptiste van den Hove n’oublia jamais la solitude qu’il avait ressentie après son arrêt maladie. Les autres victimes du burn-out l’avaient très certainement vécu aussi l’incapacité de se rendre sur son lieu de travail, où l’on passe l’essentiel de ses journées… L’impossibilité de rester trop longtemps seul chez soi… Et la difficulté de rentrer chez ses parents, chez des proches, de supporter les conseils maladroits, les attentes involontaires… L’impasse. Où aller ? Il n’existait alors aucune communauté adéquate, sur le modèle de celles pour les drogués ou les de cette réflexion qu’est née l’association Au temps pour toi 1. Dans cette maison à l’ambiance familiale installée dans un coin arboré du Limousin, les victimes de burn-out peuvent séjourner de trois semaines à neuf mois, en fonction des besoins. Pour Jean-Baptiste van den Hove, le burn-out, c’est souvent la rencontre de sa fragilité. Je suis fragile, je ne peux pas tout tout seul, j’ai besoin de l’autre. C’est la relation qui nourrit et guérit. » Le premier résident a été accueilli en mars 2017. Une dizaine de demandes arrivent chaque semaine. Seules quatre chambres sont ouvertes à ce jour. Le burn-out n’étant pas encore reconnu comme une maladie, l’association ne reçoit aucune subvention. Elle cherche des dons pour ouvrir de nouvelles chambres.
Sereconstruire après un burn-out . Le 08/07/2016 à 19h47 - Commentaires [0] Le burn-out à travers ses symptômes physiques (fatigue, dépression) est une alarme. Le but étant de nous dire : « stop ! la situation
DescriptionUn crash de vie, une sortie de route, un tsunami... tels sont les mots souvent employés par celles et ceux ayant vécu un burn-out. Comprendre ce qu'est le burn-out, également appelé "syndrome d'épuisement professionnel", est essentiel - pour qui se sent en surchauffe burn-in et souhaite s'éviter de "prendre le mur". - pour qui est passé par là et souhaite comprendre ce qui lui est pour les proches se sentant bien souvent impuissants et désemparés. Dans cette capsule pratique, je vous explique ce qu'est l'épuisement professionnel et comment mettre des mots sur vos maux. Bonne écoute !MarinaPour vous documenter et retrouver les ouvrages cités dans cette capsule, en voici les références Livres informationnels - Marina Bourgeois. Burn-out, le me comprendre & en Marie Pezé. Le burn-out pour les Sabine Bataille. Se reconstruire après un autobiographiques - Kikka. Je ne te pensais pas si Gaëlle Josse. Ce Laëtitia Colombani. Les victorieuses. - Ariane Dubois. Ne t'inquiète pas, tout va Aude Selly. Quand le travail vous me contacter marina crash de vie, une sortie de route, un tsunami... tels sont les mots souvent employés par celles et ceux ayant vécu un burn-out. Comprendre ce qu'est le burn-out, également appelé "syndrome d'épuisement professionnel", est essentiel - pour qui se sent en surchauffe burn-in et souhaite s'éviter de "prendre le mur". - pour qui est passé par là et souhaite comprendre ce qui lui est pour les proches se sentant bien souvent impuissants et désemparés. Dans cette capsule pratique, je vous explique ce qu'est l'épuisement professionnel et comment mettre des mots sur vos maux. Bonne écoute !MarinaPour vous documenter et retrouver les ouvrages cités dans cette capsule, en voici les références Livres informationnels - Marina Bourgeois. Burn-out, le me comprendre & en Marie Pezé. Le burn-out pour les Sabine Bataille. Se reconstruire après un autobiographiques - Kikka. Je ne te pensais pas si Gaëlle Josse. Ce Laëtitia Colombani. Les victorieuses. - Ariane Dubois. Ne t'inquiète pas, tout va Aude Selly. Quand le travail vous me contacter marina may also like20. Itw Valérie Pouliquen. Ecouter sa petite voix...19. Itw Catherine Kluger. D'avocate aux Granolas bio !18. Itw Corinne Gicquel. Entreprendre sans partir de zéro franchise17. Itw Valérie Bogaert. La créativité au service de notre développement pro et perso !16. Itw Carine Celnik. Tester un métier avant d'en changer !DescriptionUn crash de vie, une sortie de route, un tsunami... tels sont les mots souvent employés par celles et ceux ayant vécu un burn-out. Comprendre ce qu'est le burn-out, également appelé "syndrome d'épuisement professionnel", est essentiel - pour qui se sent en surchauffe burn-in et souhaite s'éviter de "prendre le mur". - pour qui est passé par là et souhaite comprendre ce qui lui est pour les proches se sentant bien souvent impuissants et désemparés. Dans cette capsule pratique, je vous explique ce qu'est l'épuisement professionnel et comment mettre des mots sur vos maux. Bonne écoute !MarinaPour vous documenter et retrouver les ouvrages cités dans cette capsule, en voici les références Livres informationnels - Marina Bourgeois. Burn-out, le me comprendre & en Marie Pezé. Le burn-out pour les Sabine Bataille. Se reconstruire après un autobiographiques - Kikka. Je ne te pensais pas si Gaëlle Josse. Ce Laëtitia Colombani. Les victorieuses. - Ariane Dubois. Ne t'inquiète pas, tout va Aude Selly. Quand le travail vous me contacter marina crash de vie, une sortie de route, un tsunami... tels sont les mots souvent employés par celles et ceux ayant vécu un burn-out. Comprendre ce qu'est le burn-out, également appelé "syndrome d'épuisement professionnel", est essentiel - pour qui se sent en surchauffe burn-in et souhaite s'éviter de "prendre le mur". - pour qui est passé par là et souhaite comprendre ce qui lui est pour les proches se sentant bien souvent impuissants et désemparés. Dans cette capsule pratique, je vous explique ce qu'est l'épuisement professionnel et comment mettre des mots sur vos maux. Bonne écoute !MarinaPour vous documenter et retrouver les ouvrages cités dans cette capsule, en voici les références Livres informationnels - Marina Bourgeois. Burn-out, le me comprendre & en Marie Pezé. Le burn-out pour les Sabine Bataille. Se reconstruire après un autobiographiques - Kikka. Je ne te pensais pas si Gaëlle Josse. Ce Laëtitia Colombani. Les victorieuses. - Ariane Dubois. Ne t'inquiète pas, tout va Aude Selly. Quand le travail vous me contacter marina may also like20. Itw Valérie Pouliquen. Ecouter sa petite voix...19. Itw Catherine Kluger. D'avocate aux Granolas bio !18. Itw Corinne Gicquel. Entreprendre sans partir de zéro franchise17. Itw Valérie Bogaert. La créativité au service de notre développement pro et perso !16. Itw Carine Celnik. Tester un métier avant d'en changer !
Maisqui veulent t’inspirer et te prouver qu’il est possible de remonter la pente après un Burn-Out Je te présenterai aussi un outil puissant pour booster ton estime de soi et t’aider
Comment ne pas récidiver après un burn-out ? Pour avoir vécu un violent burn-out et expérimenté le retour en entreprise après une courte période d’arrêt maladie, ma première recommandation porte sur le temps nécessaire à votre corps et votre mental de retrouver leurs forces. Après un burn-out, le risque majeur est celui de la rechute qui peut être beaucoup plus forte que le choc initial. Car, il s’agit bien de choc ! Comme je le dis sur ce site, dans la page consacrée au burn-out, je compare cette maladie à un long match de boxe dont on sort après un nombre inexorable de round épuisants. Après avoir perdu, de combat en combat, toute force physique et émotionnelle, tout sens de la relation humaine avec les autres et avec soi-même, et tout espoir en votre accomplissement personnel, le temps est venu de vous reposer. Il ne faut surtout pas négliger cette période pendant laquelle vous pouvez vous accorder le droit d’être inactifve, de ne rien contrôler et surtout de ne pas culpabiliser d’être malade. Ce temps d’arrêt est proportionnel à votre état d’épuisement entre 6 mois et 3 ans, selon la violence du burn-out et, au-delà de votre médecin traitant, ou d’un psychiatre, vous devez profiter de cette période pour vous faire accompagner par un psychologue qui saura vous écouter, et par un sophrologue pour vous aider à gérer tant votre récupération que votre reprise, dans les meilleures conditions. Eviter la récidive du burn-out, c’est d’abord comprendre qu’il faut changer ! Le travail sur soi » est indispensable pour comprendre les différents facteurs déclencheurs du burn-out l’ambiance au travail le travail lui-même l’environnement votre relation nocive ou votre addiction au travail votre besoin de vous sentir indispensable vos filtres personnels et vos croyances limitantes qui peuvent fausser la réalité les facteurs psychiques et physiques extra-professionnels famille, santé, finances, vie amoureuse… Il convient également d’analyser et de redéfinir vos véritables priorités, tant sur le plan professionnel que personnel, pour retrouver le bonheur auquel vous avez droit. Vous l’avez compris ! Vous devenez acteur ou actrice de votre propre révolution… Changez pour vous retrouver ! Pour vous y aider, créez votre Journal de positivité » dans lequel vous graverez dans le marbre vos valeurs et vos engagements personnels ce que j’écarte de ma vie », ce que je veux », ce dont je rêve », ce qui me passionne »… Dans ce journal, bannissez définitivement la négation ! Remplacez je ne veux pas » par je me libère de… » ou j’écarte définitivement ». Adoptez la pensée positive pour avancer vers une nouvelle vie sereine. Et surtout, lancez-vous dans de nouvelles activités dont votre corps et votre esprit ont besoin pour retrouver l’énergie perdue. Je vous donne pour exemple celles qui m’on permis de sortir rapidement et efficacement du burn-out yoga ou Qi-gong pour renouer contact avec vos sensations corporelles et avec votre énergie vitale méditation de pleine conscience pour faire le vide et retrouver vos capacités cognitives marche en pleine nature pour oxygéner votre esprit autant que pour retrouver la liberté de respirer actions de bénévolat pour redonner un sens véritable à votre vie écrire pour libérer la pensée participer à des groupes de parole pratiquer la sophrologie pour apprendre à gérer son stress, à lâcher prise et à développer la pensée positive Cela vous aidera également à intégrer que vous pouvez trouver du plaisir ailleurs qu’au travail, plaisir que, de toutes façons, vous avez perdu aujourd’hui. Dans votre journal, reportez de manière quotidienne a minima une chose positive qui vous est arrivée dans votre journée une rencontre, un souvenir heureux, une activité, quelque chose que vous n’aviez jamais fait jusque là… La lenteur a du bon Vous qui aviez l’habitude néfaste de tout faire à un rythme effréné, vous allez apprendre à appuyer sur la pédale de frein marcher lentement et suffisamment longtemps manger sainement en prenant le temps de savourer les aliments prendre du temps pour lire, plutôt que de regarder passivement la télévision lâcher-prise et accepter de pas tout contrôler Intégrer tous ces éléments dans votre vie, c’est vous offrir la garantie d’une guérison durable, sans risque de récidive. C’est un premier pas vers une nouvelle vie, plus sereine, plus saine où vie personnelle et professionnelle trouveront leur équilibre naturel. Si vous souhaitez participer à un stage Vaincre le burn-out » ou Place au changement », cliquez ici.
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Aller au contenu C’est à la suite d’un Burn Out que j’ai contacté Delphine Morin, So’H. Alors que je me sentais perdue Delphine m’a permis d’évacuer mes angoisses. Très rapidement j’ai réussi à rappeler mon calme. Aujourd’hui grâce à de nombreux outils , appris lors de nos rendez-vous, j’ai retrouvé ma fierté et surtout ma confiance. Je me sens sereine et j’ai retrouvé le goût de vivre. C’est toujours avec bienveillance et écoute que Delphine Morin vous invite à voyager au fond de vous même. Sans jugement, les nœuds se dénouent et nous aident à avancer. Navigation de l’article
Jeconsidère l’être humain comme un tout et c'est à l'aide de mes connaissances apprises en formation, mes fabuleux chevaux, mon empathie, ma sensibilité et mon attitude positive, que je t’accompagne sur la dimension émotionnelle,
Au tout début du début-début, je rêvais d’être architecte, puis architecte d’intérieur, puis décoratrice, puis graphiste… Bref, je rêvais d’un boulot créatif. Puis, comme des avis bienveillants » m’ont dit que c’était soit trop difficile j’ai toujours été nulle en math soit bouché, il valait mieux que je fasse un boulot sûr et dans une branche où je suis plutôt bonne. J’ai donc fait des études pour être prof de français-histoire. Cela ne me plaisait pas spécialement je préférais préparer des cours hyper jolis et graphiques et j’ai failli arrêter quelques fois. Mon diplôme en poche, n’ayant pas aimé l’idée d’enseigner à 20 ans je ne voyais pas ce que je pourrais apporter à ces jeunes alors que je ne connaissais rien à la vie.., je me suis inscrite dans une école de Techniques infographiques, après 2 ans d’essai comme copywriter-web designer formée sur le tas ». Trois ans plus tard, j’ai trouvé rapidement un job dans une grosse agence de pub où je suis restée 6 ans et demi, en faisant des tâches parfois très répétitives et barbantes, parfois plus créatives. Mais le rythme d’une agence pousse à être très productif et le cerveau est soumis à rude épreuve pour trouver des idées créatives à la pelle, dans le budget imparti pour le projet. Cela m’a usée, avec les années. Sans parler de l’ambiance d’open space qui ne me convient pas du tout, à faire abstraction du bruit ambiant, des interruptions intempestives, tout en jonglant avec le téléphone, les mails en anglais, les jobs urgents. Je rentrais parfois très tard, parfois plusieurs jours d’affilée. Parfois une semaine d’affilée. J’étais debout à 6h du mat, et je me tapais 1h30 d’embouteillages matin et soir. Souvent, je ne mangeais pas le soir, ou peu, ou très mal. Souvent, à midi, je mangeais mal aussi fast food 1 à 2 fois par semaine, surtout quand j’étais fatiguée... Mais j’étais jeune, en bonne santé enfin… globalement et tout le monde faisait comme ça, alors c’est que c’était normal… Et puis c’est ça non, la réussite sociale ?! Avoir un bon job bien payé, une voiture, une maison. La fatigue psychologique du stress, des embouteillages, de l’open-space et de l’hyper-sollicitation m’a petit à petit épuisée. J’avais les moyens de partir en vacances plusieurs fois par an, mais cela ne me reposait pas. Je rentrais de vacances épuisée. Et frustrée. Je n’avais parfois pas la force de voir mes amis le week-end. Mon cerveau a fait pfiouuuuuuu…….. ». Vous savez, comme quand on débranche un ordi qui est en pleine surchauffe. Encéphalogramme plat. J’ai grillé un fusible. J’ai changé de boite, cherchant l’éventualité d’un job un peu plus créatif peut-être, mais le mal était fait j’étais en burnout. A 33 ans. J’ai tenu 6 mois dans la nouvelle boite où la pression était encore bien plus forte. Et puis, recommencer ailleurs, c’est à nouveau faire ses preuves, se réadapter, recommencer à zéro. Un jour, sans crier gare, mon cerveau s’est arrêté de fonctionner. Je me souviens de ce moment comme si c’était hier… Je venais de travailler sur un graphisme de site web qui ne m’inspirais guère, respectant toutes les contraintes de la charte graphique tout en essayant de faire un truc super joli, et j’étais debout à côté de mon Directeur de Création en lui demandant son avis. Quand il m’a dit, sans me regarder stressé lui aussi par le rythme effréné, que c’était vraiment nul, mon cerveau a fait pfiouuuuuuu…….. ». Vous savez, comme quand on débranche un ordi qui est en pleine surchauffe. Encéphalogramme plat. J’ai grillé un fusible. Je suis allée me rasseoir à ma place dans l’open-space encore l’open-space… et je n’ai plus rien su faire jusqu’à la fin de la journée, bougeant vaguement ma souris pour montrer qu’il restait un peu de vie en moi.. Je me suis même demandée où j’habitais et où je devais rentrer, après ma journée de travail… Mes collègues directs m’ont un peu regardée, vaguement inquiets, pris aussi dans la tourmente des missions et mails urgents. Je suis rentrée chez moi, comme tous les jours. Mais je savais que c’était terminé. Quelque chose en moi était brisé. J’étais aussi parfaitement dégoûtée par mon job, que j’adorais pourtant tellement. C’était il y a 6 ans. J’aurai travaillé 7 ans en agences de pub, et il m’aura fallu 6 ans pour m’en remettre… A l’époque, je ne savais pas que je suis Asperger. Je le sais depuis peu. Je ne connaissais pas les difficultés que les Asperger ont de travailler dans un environnement bruyant, sous une pression considérable, dans un bureau open space qui ne laisse pas un instant de tranquillité à part aux toilettes.. et encore.. et pour qui les activités de team building sont un pur cauchemar. Cela a sans doute ajouté pas mal de gouttes à ma coupe qui était déjà bien pleine. Je ne savais pas non plus que toutes les petites maladies chroniques que j’avais depuis à peu près toujours otites, sinusites, douleurs articulaires, syndrome de l’intestin irritable, cystites, mycoses… étaient en fait les manifestations d’intolérances croisées qui ont fini par épuiser mon organisme sous tension en permanence ce que Taty Lauwers appelle les canaris de la modernité ». J’en parlerai dans un prochain article. Non, je n’étais pas hypocondriaque.. Je l’ai su il y a peu également. Asperger ou pas, intolérances ou pas, nous sommes nombreux à tirer sur la corde du mental et du physique pendant de nombreuses années, en tentant de satisfaire la pression sociale. Car certes, il y a le boulot, mais pas que. Souvent, on s’impose ou on nous impose des impératifs dans la famille, dans les cercles d’amis. C’est une addition pourtant assez facile à réaliser, mais dont on ne prend souvent conscience que lorsque tout s’arrête. Le burnout est encore peu connu. Il tend à être mieux considéré par le corps médical qui ne voit plus en lui une preuve de faiblesse psychologique », mais plutôt comme un excès de perfectionnisme et de stress, voire d’optimisme voir l’article que je référence en notes, ci-dessous. La société, elle, considère encore le burnout comme une faiblesse, souvent. Des articles, des livres fleurissent sur le sujet. On étudie peut-être un peu plus le phénomène puisqu’il devient si fréquent. Et survient de plus en plus jeune. Bien sûr, on est conscient que c’est un peu à cause de la pression au boulot et dans la société », mais au fond on ne sait pas très bien pourquoi certaines craquent et pas d’autres ni, surtout, comment changer la société.. Que les médecins l’admettent ou non, on ne sait pas guérir un burnout avec la médecine classique. Au mieux, on va vous prescrire 2 mois d’arrêt ou plus avec des anxiolytiques et/ou antidépresseurs, et peut-être un accompagnement psychologique et/ou sophrologique, par exemple. Au pire, vous aurez deux semaines d’arrêt qui ne changeront rien. Vous retrouverez souvent les mêmes conditions de travail, avec un vague aménagement des choses si vous êtes chanceux, et le regard de travers ou inquiet de vos collègues. Etonnamment, il semble exister assez peu d’études sérieuses sur le fait qu’en cas de burnout, c’est le corps qui lâche. Pas le mental. Ce sont les organes, le système hormonal. Et puis, quand va-t-on parler du SENS ? Des valeurs ? Du manque de cohérence entre notre vie et nos valeurs profondes ? Quand j’ai fait mon burnout, j’ai eu la chance d’avoir la possibilité de tenter une nouvelle vie en Martinique, histoire de faire un grand écart entre deux extrêmes… Le Luxembourg et sa relative superficialité d’un côté, la vie au jour le jour d’une île tropicale de l’autre, avec tout ce que cela comporte d’instabilité. Mais j’ai emporté mon burnout avec moi, ainsi que tout ce qui n’était pas résolu dans ma vie c’est-à-dire, somme toute, un assez gros paquet de casseroles…. Je suis donc rentrée en Belgique un an plus tard, en ne voyant comme porte de sortie qu’une seule option me lancer comme indépendante dans le web design. Je ne pouvais plus imaginer l’idée d’avoir un boss. Je voulais faire mes propres choix, retrouver un rythme qui m’était propre. Je n’ai jamais regretté ce choix, car il m’a permis, petit à petit, de me poser les bonnes questions et de revenir à la base de la base c’est quoi mon rythme, mes besoins, mes valeurs ? Qu’est-ce qui fait sens pour moi ? Car après 1 an et demi de freelance, il a bien fallu que je me résolve à admettre que j’étais en épuisement chronique. Que le burnout était toujours là. A me coller aux baskets, depuis près de 3 ans. Mais au fond, sans doute depuis beaucoup plus que cela… Car avant de lâcher, le corps est capable de tenir trèèèès longtemps… Je vous passe ici les détails de mes pérégrinations tous azimuts pendant 1 an et demi depuis cette prise de conscience, entre médecine classique, arrêt de la pilule contraceptive – avec ses effets rebonds catastrophiques vertiges, nausées qui m’ont empêchés de travailler pendant des mois -, traitements médicamenteux lourds pour les vertiges et santé alternative, notamment par la naturopathie. Aucune piste n’a fonctionné. Pire, cela m’a considérablement aggravé. Fin 2016, j’étais donc sur les genoux, au bout des possibilités que je connaissais et je me résignais à arrêter mon statut d’indépendante. Je n’avais même plus la force de bosser à mi-temps pour quelqu’un. J’avais perdu pas mal d’amis au passage, qui ne comprenaient pas mes démarches et recherches, et me croyaient dépressive, orthorexique, en plus d’être soi-disant hypocondriaque.. Et c’est là que je tombe par hasard » sur le livre de Taty Lauwers Quand j’étais vieille – Sortir du burnout ». Ô révélation !! Et révolution ! J’ai compris qu’il y avait une sortie au tunnel. Coachée par Maya Dedecker qui pratique l’approche de Taty, puis m’inscrivant d’emblée à la formation ART Alimentation Ressourçante de Taty Lauwers, j’ai petit à petit sorti la tête de l’eau. En reprenant tout à zéro sommeil, alimentation, valeurs, émotions, sensibilités… J’ai patiemment reconstruit ma vie en comprenant, grâce à l’approche de Taty, les causes de mon épuisement chronique le foie épuisé, les intolérances, la digestion catastrophique, les glandes surrénales au bout du rouleau… et en retrouvant mois après mois une énergie que je croyais définitivement passée aux oubliettes. J’ai commencé un plan alimentaire ciblé pour mes intolérances, accompagnée par Maya Dedecker, en janvier 2017, tout en appliquant les méthodes de repos mental, électro-magnétique, couché et alimentaire que Taty développe dans son livre sur le burnout. Et puis j’ai lâché le mental et suivi exclusivement mes intuitions, faisant confiance en l’instinct de survie que mon corps avait développé dans ces années de crise. Un an plus tard, bien que je ne sois pas encore totalement sortie du burnout il faut compter ¼ du temps où vous avez été en burnout en plan ciblé pour vous en sortir, je respire enfin. Et je suis aujourd’hui slasheuse je jongle entre 2 métiers de freelance. Le Design Web d’un côté et le Profilage Nutritionnel de Taty Lauwers de l’autre. Sans compter tous les projets qui fleurissent à nouveau ! Au final, non seulement j’ai survécu au burnout, bien qu’il m’ait fallu des années pour trouver une voie sérieuse pour m’en sortir, mais je peux affirmer haut et fort que ce fut l’une des expériences les plus positives de ma vie ! Le burnout m’a permis de sortir des limbes de la survie ou de la sous-vie et de comprendre ce dont j’avais besoin pour vivre…
Jai compris que le burn-out n'est pas un échec et touche aussi les meilleurs.Je m'écoute et je prends soin de moi.Je me reconnecte à ce qui a du sens pour moi et à mes aspirations profondes, personnelles et professionnelles.Je transforme cette
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4 Prendre du temps pour soi, retrouver de la confiance en soi. Vous avez vécu une déstabilisation, vous avez besoin de vous recentrer. Chouchoutez-vous, prenez soin de vous dans un premier
Le Burn Out semble être la nouvelle maladie de notre siècle. On en parle à tort et à travers, mais ce n’est pas une fatalité. Bien sûr, il y a la difficulté à faire comprendre aux autres ce que l’on vit, le manque de compréhension dans les entreprises où l’humain passe à la trappe et toutes les répercussions négatives sur la personne touchée perte de confiance en soi, dégoût de l’activité, voire même paralysie totale d’action. C’est le côté noir du Burn Out. D’un autre côté, toucher le fond permet aussi de rebondir, de se poser les bonnes questions. Ce qui était un cauchemar peut devenir un excellent tremplin professionnel pour qui sait bien le gérer ou qui est bien accompagné dans la démarche ! C’est ce qui est arrivé à Dominique, du programme SPARK, qui nous a rejoint après une démission difficile il y a un peu plus d’un an. Aujourd’hui, après quelques mois de remise en selle, il démarre une nouvelle activité comme entrepreneur ! Alors comment rebondir suite à un Burn Out ? 1. Prendre conscience du burn out c’est déjà bien. C’est la première étape. Soyez conscient de ce qui vous est arrivé ou vous arrive. Si vous êtes en situation de mal-être au travail, réagissez. Ne restez pas dans une position de victime. 2. Parler. Attention il ne s’agit pas de se plaindre mais d’exprimer les tensions, conflits que l’on vit ou ressent, cela permet de se libérer et de pouvoir recommencer de zéro », de manière saine. Au travers du dialogue avec un proche ou un spécialiste, cherchez à identifier ce qui vous a amené où vous êtes aujourd’hui. 3. Identifier les personnes toxiques et couper les ponts. A l’origine de beaucoup de Burn Out, il y a des personnes toxiques que vous auriez pu éviter. Identifiez-les bien et éloignez-vous d’elles ! Stop ! Eliminez-les de vos contacts. Refusez de les voir. Ces personnes sont souvent des suceuses, non pas de sang, mais d’énergie ou bien des génératrices d’ordures émotionnelles qui prennent les autres pour leurs poubelles. Ne le permettez pas ! 4. Prendre du temps pour soi, retrouver de la confiance en soi. Vous avez vécu une déstabilisation, vous avez besoin de vous recentrer. Chouchoutez-vous, prenez soin de vous dans un premier temps. Pas besoin de spa hors de prix, un masque chez soi, une manucure, une séance de flottaison, un hammam, un massage va vous revigorer. Ce n’est pas une recette miracle et se chouchouter ne veut pas seulement dire se faire du bien physiquement. C’est également une activité mentale. Comment ça ? C’est-à-dire que le chouchoutage doit être actif au niveau psychologique. Regardez-vous tous les jours dans la glace et faites-vous des compliments. Que faites-vous de bien ? Là encore pas besoin de compliments fous. Prenez en compte les milles petites choses que vous réussissez au quotidien. Ces petites victoires démentent la négativité dans laquelle vous vous trouvez. Et ça, c’est bien ! Lisez la suite de l’article directement sur note blog en cliquant ici
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